De l'Ombre à la Lumière … PARTIE 2/4
Chers lecteurs,
Voici la suite de nos incursions à la recherche du Soi.
J'espère que la lecture de la première partie vous aura permis de toucher du doigt des aspects importants de vous-même.
J'espère également que cela vous donnera envie de poursuivre la quête.
C'est ce que je vous propose avec quatre aspects supplémentaires, concernant l'opposition entre notre ego et le Soi.
N'oubliez pas que c'est par la connaissance de l'ombre que débute la prise de conscience de son insignifiance. Alors, sa compréhension et son acceptation permettent d'entrevoir ce qui se cache derrière le voile. Cette lumière qui n'attend que cela pour notre entière réalisation.
Comme toujours, je vous souhaite une lecture enrichissante.
4 - QUATRIÈME STRATÉGIE – L'INTOLÉRANCE
Sans en être conscients, nous sommes habituellement intolérants avec ceux qui reflètent un aspect de nous-mêmes que nous n'acceptons pas, par peur du rejet. (Retournez à la lecture des textes précédents où il est question de projection).
Par la projection, un être blessé par la conscience de ses propres imperfections aura tendance à s'élever en rabaissant les autres. Dans un premier temps, il y a déni de l'imperfection en soi (car la reconnaître nous confronterait à la menace du rejet). Mais le déni ayant ses propres limites, la projection de l'imperfection sur l'autre s'avère nécessaire. C'est le deuxième temps.
Si l'ego était honnête, il dirait : “En réalité, j'ai peur d'être inférieur à l'autre.”
L'intolérant, le raciste, le redresseur de torts, ne cherche qu'à éliminer ce qu'il croit être différent de lui quand, en réalité, il ne fait que rejeter une part de lui-même.
Croyant être meilleurs et plus forts, nous en faisons que nous affaiblir, inconscients que nous sommes du fait que notre attaque contre l'autre n'est qu'une attaque contre nous. Ainsi, nous nous empêchons de nous élever au-delà des limites de notre ego. Nous nous privons de l'accès à notre Soi. Nous nous privons de l'autre … Comme toujours, nous défendant contre le rejet, nous le provoquons.
QUATRIÈME ANTIDOTE – LA COMPASSION
En référence à ce qui vient d'être dit, la compassion pourrait se définir comme la capacité à comprendre l'autre, sur la base de notre propre acceptation. En nous donnant l'autorisation d'être ce que nous avons à être, nous nous ouvrons à l'amour de Soi. Il s'agit d'un amour inconditionnel qui tient compte autant de notre lumière que de notre ombre. Faisant cela, nous nous ouvrons au meilleur de nous-même. Comment pourrait-il en être autrement vis à vis des autres ?
Si je m'aime et je m'accepte totalement pour ce que je suis, je n'ai plus besoin d'un substitut égotique illusoirement “parfait”. “Je comprends ce que je suis. Mes qualités et mes défauts. Mes désirs et mes aspirations profonds. Les raisons de mes conduites et de mes réactions. Quand bien même je serais encore soumis aux aléas de mon ego, j'aurais suffisamment de connexion avec mon vrai Soi pour en prendre conscience et pour comprendre mes ratés de l'ego. Comment serait-il alors possible de ne pas en tenir compte chez l'autre ?”
Acceptant notre ombre, nous acceptons celle de l'autre. Nous comprenant, nous comprenons l'autre. Ce faisant, nous nous rendons disponible à notre grandeur … et à celle de l'autre.
Dès lors, les défauts, les travers, les carences, deviennent dérisoires par pure comparaison avec meilleur dont chacun d'entre-nous sommes capables.
La compassion nous amène l'acceptation, la tolérance, l'amour inconditionnel.
Plus nous auront de compassion, à commencer par nous-mêmes, plus nous serons aptes à tolérer nos erreurs et celles de l'autre, comme des occasions d'apprendre sur nous … et sur lui ...
“Qui a la compassion est aimant et bienveillant … même en colère. Qui est sans compassion peut tuer … même avec un sourire.”
Shabcar.
5 - CINQUIÈME STRATÉGIE – L'ARROGANCE
L'arrogance est un faux-ami. Elle prend l'aspect de la confiance, de la force et du contrôle alors qu'elle n'est qu'une expression de faiblesse et de peur. En tant qu'elle puise sa force dans l'insécurité et le sentiment d'inadéquation, l'arrogance reste un pur produit de l'ego.
L'arrogance se manifeste précisément dès l'instant où l'ego se sent blessé dans son besoin d'être plus important qu'un autre. Ainsi, elle devient le moyen par lequel l'ego compense ce qu'il croit avoir perdu, ou ce en quoi il pense avoir été lésé.
Cela rejoint parfaitement la logique selon laquelle nous nous comparons, nous entrons en compétition avec l'autre, nous en faisons notre ennemi. Tout cela reste justifié pour la simple raison que nous abritons la croyance que l'autre (son jugement, ses critiques, voire sa réussite) ôte quelque chose à notre ego. Il ne lui en faut souvent pas plus pour justifier tout type d'attaques centrées sur l'arrogance. Les mêmes critiques que nous proférons, les mêmes jugements par lesquels nous condamnons, visent souvent à bien faire comprendre que nous sommes au-delà des aspects que nous reprochons à l'autre. Cette dépense de temps et d'énergie nous bloque l'accès à ce que nous sommes en essence.
Or, nous commençons à bien comprendre qu'il en s'agit que de projections visant à faire porter à l'autre ce que nous nions posséder en nous-mêmes. Cela n'est rien d'autre qu'une forme d'attaque qui, inévitablement, suscitera les réponses que l'on sait de la part de ceux qui en sont la cible. Ainsi, nous voici à nouveau la victime des autres, ayant bien veillé à renforcer notre statut de victime si cher à l'ego.
C'est comme cela que, uniquement centrés sur ces rôles que nous entretenons, nous occultons ce qui pourrait véritablement nous faire rayonner, en dehors de toute peur et de toute comparaison, poursuit son paisible sommeil au fond de nous.
… Pour le plus grand bonheur de l'ego qui, sans cela, se condamnerait à sa propre perte.
CINQUIÈME ALTERNATIVE – L'HUMILITÉ
(Corps du texte antidote)
Malheureusement trop souvent associée à la faiblesse, l'humilité est pourtant une réelle force. Tout dépend de quel point de vue on se place. Il est clair que vue par l'ego, l'humilité est une perte de suprématie plus ou moins intolérables selon les personnes.
Pour l'ego, humilité est synonyme de soumission, d'effacement, d'asservissement, d'abaissement, voire de honte, d'humiliation et d'anéantissement. Face à ces formes de défectuosité supposée, l'ego a vite fait d'entrevoir le spectre menaçant d'une menace inacceptable : “Si l'on me voit faible, on aura toutes les raisons de médire sur moi, me juger, me blâmer … m'abandonner.”
Or cette croyance est ce qui donne corps à la réalité que nous vivons. Car nous faisons tout pour modeler, sans même nous en apercevoir, les circonstances de telle manière qu'elles donnent raison à nos croyances. Ainsi, l'arrogance voulant défendre l'ego contre sa pire crainte, ne fait qu'en construire les circonstances d'apparition et de réalisation. Nous créons notre réalité … bien au-delà de ce que nous imaginons.
Tout ce que suppose l'humilité pour l'ego, nous donne une vision de soi-même qui se situe bien en-dessous de la réalité. Quelque chose de soi semble ne pas être totalement assumé, ce qui perpétue la distorsion de notre propre image.
Or, considérée par les yeux du Soi, qui ne partage pas la vision illusoire de l'ego, l'humilité est la conscience juste de notre valeur et de la place que nous avons à occuper dans le monde. Elle pourrait la comparer à la modestie, simplicité, douceur, respect de soi et de l'autre. Ici, il n'y a pas d'abaissement de la vision de soi au-dessous de la réalité. Il n'y a pas non plus d'élévation au-dessus de la vérité. Simplement une vision juste, réaliste et assumée.
Sans distorsion de notre image, nous éliminons le doute à notre sujet. Nous nous sentons aptes à nous suffire à nous-mêmes. Conscients de nos atouts et de nos limites. Détachés de tout besoin de comparer tant est prise en compte l'unicité de chacun. Ainsi, l'autre cesse d'être une menace.
Alors, toute défense (ou attaque) de notre part devient caduque, laissant une place entière à nos bonnes intentions. Nous voyant ainsi disposé, l'autre ne peut qu'améliorer la vision qu'il a de nous-mêmes … ainsi que celle qu'il a de lui. C'est ainsi qu'une fois de plus, la relation s'inscrit dans une dynamique vertueuse où chacun est reconnu comme il est, loin de toute idée menaçante.
Faire preuve d'humilité permet une ouverture réciproque aux avis des uns et des autres. Des opinions sont partagées qui permettent de nous ouvrir au changement et à l'évolution, sans que personne n'aie désiré changer l'autre pour autant.
“Sois humble comme les racines de la rose que personne n'admire et qui pourtant protègent le secret de sa beauté.”
François Gervais.
6 - SIXIÈME STRATÉGIE – L'ENTÊTEMENT
L'ego a horreur d'avoir tort. Il fonde son fonctionnement sur une vision distordue de lui-même, de l'autre et du monde. En cela, il vit dans une permanente illusion de vérité, bien en-dessous de ce que deviendrait la réalité sans cette tromperie faite à soi-même. Remettre ses croyances en question est difficile pour l'ego. Et lorsque ses certitudes sont ébranlées, sa réactivité peut adopter n'importe quelle nuance dans la gamme allant de la vexation à la colère. Remarquez qu'il ne s'agit que d'attaques faites à soi, à l'autre et, le plus souvent aux deux. Dans tous les cas, ce ne sont que des degrés différents de colère, le plus souvent réprimée, qui verrouillent notre capacité d'ouverture et notre flexibilité.
Ainsi, nous croyons conserver notre autonomie et renforcer notre posture, quand en réalité, nous faisons preuve de tout le contraire … obtenant encore une fois, ce à quoi nous voulions échapper.
En effet, cette illusion d'autonomie n'est rien d'autre qu'une extrême sensibilité et une grande réactivité aux désaccords manifestés par d'autres. Il s'agit donc d'un état de dépendance avancée aux opinions d'autrui. Pensez à la vie d'un pantin dont chaque mouvement est déterminé par l'impulsion que lui donne le marionnettiste qui le manipule. Est—ce votre idée de la liberté ?
Quant à la croyance que nous renforçons notre posture, elle prend un sérieux coup dans l'aile lorsque les autres nous désertent. Un têtu ne garde pas ses relations bien longtemps … À défaut de les perdre, il les rend difficiles à vivre, tant pour lui que pour l'autre. À tout moment, se joue la question du risque concernant la peur suprême de l'ego : se retrouver seul.
“Oui, mais j'ai raison … !”
“Oui, mais tu es seul … !”
Seul à avoir raison. Un beau retour dans les profondeurs noires que nous offrent l'ego. On ne renforce pas sa posture lorsqu'on est seul. On l'affaiblit notoirement … avec la douleur au bout du trajet. Voilà pourquoi nous préférons si souvent avoir raison qu'être heureux.
Au moins, il reste à l'ego une occasion unique de se poser comme victime.
Et ô combien l'ego adore se plaindre …
Au fond, en niant les avis différents, nous perdons l'occasion précieuse d'une ouverture de notre champs perceptif. Quel meilleur révélateur de soi-même que l'autre ?
En nous fermant aux avis extérieurs, nous perdons beaucoup plus que la simple compagnie des autres. Nous fermons du même coup la porte à de précieuses prises de conscience sur nous.
Être en désaccord n'a pas à être une source de conflit. Bien au contraire.
SIXIÈME ALTERNATIVE – L'OUVERTURE D'ESPRIT
Accepter de remettre en question ses propres avis revient à s'octroyer le droit à l'enrichissement. S'ouvrir à des avis multiples nous permet de comprendre que nous sommes loin d'avoir toutes les réponses, mais que notre vision peut s'émailler de nouvelles perspectives.
L'autre a forcément un rôle à jouer dans notre vie. Tout comme nous en avons un à exercer dans la sienne. Chaque personne dont nous croisons la route est là pour nous apprendre quelque chose.
Qu'importe d'avoir raison ou pas, lorsqu'on sait que la véritable richesse réside dans la différence et la confrontation des expériences.
Là où l'ego fait bien plus que cultiver la mêmeté … puisqu'il abhorre la différence qui lui donne le sentiment de perdre pied sur les évènements.
Le Soi s'épanouit dans la diversité qui devient, pour lui, une source de d'enrichissement … et l'occasion d'accepter ce que la vie réserve …
“Vous avez raison, madame Je-sais-tout ! Annonça Madame Têtue en arrivant chez son amie … mais j'ai bien fait d'aller vérifier.”
Roger Hargreaves.
7 - SEPTIÈME STRATÉGIE – L'ÉGOCENTRISME OU L'AUTORÉFÉRENCE
Se voulant parfait et parfaitement reconnu, l'ego sombre dans la peur de ne pas être à la hauteur de ses aspirations en termes d'image. Soit que, souffrant d'un terrible complexe d'infériorité, il cherche à le cacher en compensant par une image faussement favorable ; soit que, n'ayant pas conscience de placer sa propre perception bien au-dessus de la réalité, il en abreuve qui veut bien l'entendre … Pas trop longtemps tout de même …
Conscients ou pas du décalage entre sa valeur véritable et sa valeur réelle, le résultat de cela est qu'il ne fait que se défendre contre le discrédit et le rejet qu'il craint plus que tout …
Et devinez quoi … ! C'est tout juste ce qu'il finit souvent par obtenir.
En effet, l'égocentrisme est la défense spécifique contre cette forme particulière de peur. Comme toute défense, nous avons vu qu'elle génère ce qui voulait être évité.
La peur et sa défense se fondent sur l'illusion que la satisfaction, que le remède à tous les manques et les maux, doivent venir de l'extérieur. Suprême dépendance qui nous pousse à rechercher l'attention des autres, leur assentiment, leur reconnaissance. En usant et abusant de cela, nous dédions une quantité phénoménale d'énergie émotionnelle à manipuler les personnes et les situations, de façon à ce qu'elles comblent ce que nous croyons être nos manques. Ce faisant, nous devenons des adeptes de la plainte, de la réclamation, ce qui ne fait qu'accroître notre isolement.
Qui d'entre-nous supporterait d'être mobilisé en permanence par une personne qui, ensuite, serait incapable de nous retourner un minimum d'attention ? Un peu : oui. Longtemps : j'en doute.
L'égocentrique lasse vite son entourage et finit inévitablement par souffrir de ne pas comprendre les raisons pour lesquelles il est déserté. Il lui restera tout de même une belle justification pour valider son statut de victime auprès des nouvelles oreilles qui voudront bien l'écouter …
Le don ne peut fonctionner qu'à double sens. Pas qu'il s'agisse d'une quelconque justice … simplement du fait que les lois de l'univers semblent ainsi régies. Le don se fait des uns aux autres dans un aller-retour constant. Les anglo-saxons appellent cela le FLOW … nous pourrions l'appeler le flux. Il n'est pas étonnant que l'infini soit symbolisé par le chiffre 8.
Quel plaisir procurerait un jeu de tennis dans lequel le receveur garderait pour lui chacune des balles que lui envoie le serveur ? La vie semble répondre aux mêmes caractéristiques.
SEPTIÈME ALTERNATIVE – LA SERVIABILITÉ
Le Soi a une tout autre vision de la question. Il n'isole pas, ne sépare pas, ne compare pas. Il sait que sa nature profonde vise le partage et l'union. Notre véritable nature, celle qui est censée être alignée sur les lois de l'Univers, est la joie et la paix. Cela en peut se manifester que dans la coopération.
Pour l'ego, toujours enfermé dans une vision de manque et d'insuffisance, il est inconcevable d'admettre qu'il y a plus à recevoir en donnant qu'en exigeant. En retenant tout pour lui, il ignore qu'il provoque lui-même un désalignement avec les lois de l'abondance. Le Soi ne se pose pas la question en ces termes. Il se place au service du monde sans rien exiger. Et parce qu'il n'attend rien, il obtient.
Ces gains désintéressés couvrent toute la gamme de ce qui peut être reçu. À commencer par le sentiment gratifiant de compter … d'avoir une valeur aux yeux de tous. En recherchant le bien-être de l'autre, on s'élève au-dessus de l'insignifiance de nos petits problèmes quotidiens. Et le retour est infiniment plus gratifiant que celui qu'attend l'ego sans jamais le recevoir … ou si rarement. Mais dans tous les cas, jamais bien longtemps.
Au fond, le Soi sait que tout ce qu'il fait pour l'autre, c'est d'abord à lui-même qu'il le fait.
N'oublions pas que ce don de soi doit d'abord être motivé par un désir sincère qui se fonde sur une intention véritable. Lorsqu'il donne, l'ego le fait toujours avec une arrière-pensée … après quoi, il s'étonne de ne rien recevoir en retour. En avançant masqué et en recherche d'un bénéfice, l'ego s'inscrit dans une logique de manque. Sa défense illusoire contre ce manque lui donne … encore plus de manque. Le Soi n'attend rien. Il donne par pur plaisir de donner et de partager.
La conclusion est sans appel : En donnant du manque, je reçois du manque. En donnant du don … la vie me donne en retour.
Difficile à croire ?
Pour l'ego : Absolument. Connectez-vous à l'amour que votre Soi connaît parfaitement … et vous verrez !
Comment faire la différence ?
La prochaine fois que vous donnez, demandez-vous pourquoi vous le faites :
Par désir de reconnaissance ?
Pour être perçu comme un sauveur ou un bienfaiteur ?
Pour nourrir le désir d'un bénéfice à court, moyen ou long terme ?
Pour éviter des désagréments ou la perte ?
Les dons de l'EGO sont toujours motivés par la peur.
Le Soi se pose un autre genre de questions.
Lorsqu'il donne, il le fait par désir d'élever l'autre.
Par joie pure et simple.
Par remerciement sincère.
Par pur altruisme ou par absolue gratitude.
Les dons du SOI sont toujours motivés par l'amour.
Ce qui vient de l'ego se passe dans la tête. Le mental calcule.
Ce qui vient du Soi se passe dans le cœur et les tripes … c'est l'endroit où vous sentirez l'émotion si plaisante de votre intention.
“Dans les rues de Calcutta, un touriste américain arpentait les rues saturées de pauvreté. Sans savoir qui elle était, il croise Mère Teresa qui tenait en enfant lépreux dans ses bras. Dégoûté par ce qu'il voyait, le touriste s'exclame : “Quelle horreur ! Je ne ferais pas ça … même pour un million de dollars.” Et Mère Teresa lui répond avec un sourire illuminé : “Oh ! Moi non plus, je ne ferais pas ça pour un million de dollars. Moi, je le fais par amour !”
Pour conclure aujourd'hui …
J'espère sincèrement avoir pu contribuer, un tant soit peu, à éclairer votre route.
Ce faisant, j'éclaire aussi la mienne, ce dont je vous remercie.
À très bientôt pour la suite.
Juan Manuel Salido Pena
Vilagarcía de Arousa (Espagne)
Le Mardi 21 janvier 2020
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